Valeurs du Parti Liberal du Tchad

Au PLT, notre action politique repose sur un principe inaliénable :

LA LIBERTE. Le libéralisme est une doctrine politique qui concilie

liberté et organisation sociale. Les libéraux tchadiens s'engagent

à construire et à sauvegarder des sociétés libres, équitables et

ouvertes, dans lesquelles ils cherchent à équilibrer les valeurs

fondamentales de liberté, égalité et communauté, et dans

lesquelles personne n'est asservi par la pauvreté, l'ignorance

ou la conformité. Les libéraux défendent la liberté, la dignité et

le bien-être des individus.

Nous reconnaissons et nous respectons le droit à la liberté de

conscience et au droit de chacun à développer pleinement ses

talents. Nous visons à répartir les pouvoirs, à encourager la

diversité et à favoriser la créativité. La liberté d'être créatif et

innovant peut uniquement être soutenue par une économie

de marché, mais elle doit offrir de vrais choix aux individus.

Cela signifie que nous ne voulons pas d'un marché dans lequel

la liberté serait restreinte par des monopoles ni d'une économie

dissociée des intérêts des pauvres et de la communauté dans son

ensemble. Les libéraux tchadiens sont optimistes dans l'âme et

font confiance aux gens tout en reconnaissant la nécessité de

toujours garder un œil sur les personnes au pouvoir.

Quelques objectifs du Parti Libéral du Tchad

1. La lutte pour l’égalité des chances entre les tchadiens

de toutes origines. Les inégalités et les discriminations

envers certains groupes d’individus seront officiellement

interdites par une loi.

2. L’insertion des jeunes tchadiens et la défense de leurs

droits. La jeunesse tchadienne doit pouvoir être parfaitement

informée de l’ensemble de ses droits. Des nouvelles structures

seront mises en place afin quelles jouent véritablement un rôle

dans l’information, l’orientation et l’encadrement des jeunes.

Informer les jeunes de leurs droits contribue véritablement à

une politique d’émancipation qui donne aux individus les outils

de leur autonomie.

3. La liberté de créer et d’entreprendre dans l'ensemble du pays

ne pourra être une réalité que si des mesures créant un climat

fiscal favorable sont instaurées. Par ailleurs, il faut nécessairement

développer des guichets d’économie locale qui fourniraient une

assistance et un accompagnement personnalisés aux futurs

entrepreneurs.

4. La création d’un cadre de vie, sain et sûr pour chacune

des familles vivant sur le territoire du Tchad garantira la

bonne qualité de vie, la propreté et la sécurité dans nos quartiers.

5. La réussite de l’intégration et le respect de la diversité à

l'intérieur des frontières tchadiennes car la diversité est une

richesse à protèger. Nos régions sont des communes multicul-

turelles par excellence où se côtoient des populations d’origines

diverses. La vraie intégration ne se fera que dans une démarche
d’adhésion à des valeurs communes dans le respect de la diversité

de chacun. Cette démarche ne doit donc pas être à sens unique.

Ensemble, le changement est possible !!

Mika-L. Yondoloum

Président du Parti Liberal du Tchad

pltchad_7@hotmail.com

htpp: parti-liberal-du-tchad.blogspot.com

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Affaire Hissein Habré

Au nom du Peuple du Tchad et au nom des familles endeuillées

par le gouvernement FAN dirigé par Mr Hissein Habré, l’homme

le plus intelligent de l’Afrique, le Mao Africain, l’ancien étudiant

de la Sorbonne de Paris et l’homme utilisé par la France pour
faire exploser le Tchad de Tombalbaye et de Malloum Félix entre

les années 73 et 90, le Parti Libéral du Tchad est très satisfait

de la tournure que prend l'inculpation d'Hissein Habré par la justice

sénégalaise. Datée de janvier 2000, la question du jugement

(déjà trop long) de Hissein Habré, la crapule, a fait naître de grands
espoirs de justice pour ses victimes. Hissein Habré et ses hommes de

main dont Idriss Deby et bien d’autres officiers de la DDS encore dans

le gouvernement actuel du Tchad ne mettaient pas trop longtemps

pour tuer d’autres tchadiens. Pourquoi donc ce traitement de faveur

de la part du Sénégal ?

En effet, c’est pour la première fois qu'un ancien chef d'Etat africain

est poursuivi pour violation massive des droits de l'homme dans

le pays où il se réfugie. Dès le début, l'affaire Habré a pris une

tournure historique dont les enjeux ont largement débordé les frontières

du Sénégal et du Tchad pour atteindre une dimension internationale.

C'est devenu maintenant un combat majeur de la lutte contre l'impunité

et l'oubli, en Afrique et dans le monde. Vous n'êtes pas sans savoir que la

présence des Noirs dans les Caraïbes et aux Etats-Unis est due à l’in-

conscience des anciens dirigeants africains qui avaient vendu leurs conci

toyens voilà trois siècles croyant bien agir face à l’homme blanc. Aujour-

d’hui, encore cette même mentalité fait son chemin dans cette Afrique

dite moderne. Les chefs d’État africains se croient tout permis et non

seulement n’hésitent pas de tout vendre aux blancs ce qui ne leur

appartient pas mais volent sans gêne tout ce qui revient aux plus

démunis et les tuent par-dessus tout. Ah les noirs ! quand cesserez-

vous d'être si méchants et peu fréquentables?

La Cour de Cassation du Sénégal a estimé le 20 mars dernier que

les juridictions sénégalaises n'étaient pas compétentes pour juger

au Sénégal des faits commis au Tchad. Cette décision, prise

en violation des engagements internationaux du Sénégal en vertu

de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements
cruels, inhumains ou dégradants, a donc arrêté, temporairement,

les poursuites engagées au Sénégal contre l'ex-dictateur. Le Sénégal

aurait dû soit juger Habré, soit l'extrader et non faire trainer les

gens pour maximiser les gains alors que les parents des victimes

sont impatients de voir finir le deuil.

Le Comité des Nations Unies contre la torture a reçu formel-

lement la plainte et a en outre invité le Sénégal à " prendre

toutes les mesures nécessaires pour empêcher que M. Hissène

Habré quitte le territoire du Sénégal autrement qu'en vertu

d'une procédure d'extradition". Après lui avoir extorqué tout

l’argent volé au Tchad, le Sénégal peut envisager que le

juge belge inculpe Hissein Habré et délivre un mandat d'arrêt

international à son encontre. Dans ces conditions, les recomman-
dations faites au Sénégal par le Comité des Nations Unies contre

la torture prendraient tout leur sens. Le Sénégal devrait arrêter

Hissein Habré et le livrer à la justice belge dans le cadre

d'une procédure d'extradition. Le gouvernement Habré comme
celui de Deby ne livrent pas les ressortissants Tchadiens à la

justice pour obtenir réparation. Les Tchadiens sont tués par

leur propre Président et ce, sans souci du lendemain parce

que les bandits du nord tchadien, aveuglés par le pouvoir occulte
franc-maçonnique, ils sont d'abord incompétents, puis devenus

arrogants, intolérants, irrespectueux, irréconciliables et inhumains.
Pourquoi cinq années et dix-huit (18) milliards de fcfa pour juger

Hissein Habré ? Apparemment, le Sénégal n’est pas non plus propre

pour vivre de ses propres efforts. C’est dommage mais se nourrir

du sang d’autres peuples est une disgrâce. C'est dans ce cadre

que les survivants de toutes les tueries au Tchad se permettent

de rappeler la proposition suivante : Quelle est la position actuelle

de la France (devenue muette au moment de s'expliquer face à

la décision prise par le Comité des Nations Unies contre la torture

demandant au Sénégal de ne pas laisser Hissein Habré quitter

ce pays. Il serait très important que le gouvernement français,

lui, qui a parrainé Hissein Habré contre Malloum en 1978 se
prononce publiquement devant une telle décision. Le Parti Libéral

du Tchad demande aussi officiellement au Sénégal de retenir

l'ex-dictateur en attendant une décision de la justice belge.

Tous doivent être jugés pour les meurtres, bavures, vols et injus-
tices commis car nul n’est au-dessus de la loi des humains même

si on compte de nombreux amis qui tirent des ficelles en dessous

de la table ou qui téléphonent tard dans la nuit pour donner les

directives.Tôt ou tard la justice divine se fera, pour l'instant,

le PLT vous souhaite bon plaisir dans l'assassinat des citoyens

sans défense d'Afrique et d’être des crapules sur la terre.

La magouille du clan Pinochet est encore vivante dans nos pensées.


Mika-l. Yondoloum
Président du Parti Libéral du Tchad
Pltchad_7@hotmail.com

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Pourquoi la démocratie fait défaut au Tchad ?

Ce que la réalité nous donne à voir au Tchad , c’est moins l’accomplis-
sement des idéaux que notre incapacité à les incarner dans la vie
publique. Les dernières campagnes électorales semblent avoir eu pour
effet de montrer du doigt le cynisme à l’égard de la politique en général
et de la démocratie en particulier. Si l’on pense aux faibles taux de parti-
cipation, à l’élection d’un gouvernement impopulaire, à la volonté de
réformer le mode de scrutin, au débat sur le temps de parole à l’Assem-
blée nationale et la possibilité d’une dictature, force est de reconnaître
que notre système politique tchadien déçoit ses citoyens autant que ses
élus.

Mais pourquoi nos institutions politiques génèrent-elles autant d’insatis-
faction ? Si la démocratie a la réputation d’être le « moins pire » des
systèmes, en revanche elle coûte cher et demande du temps. Or,
comme si cela n’était pas assez, la démocratie se fonde sur des
idéaux difficiles à réaliser. Elle présuppose en effet l’égalité de tous
les citoyens, la participation égale au pouvoir, la représentativité à
l’Assemblée, la transparence et l’imputabilité dans la prise de décision.

Ainsi la distance grandissante, dans nos démocraties contem-
poraines, entre l’idéal et la réalité traduit ce que certains appellent
un « déficit démocratique ». Cette idée s’établit en gros sur les points
suivants : l’absence de dialogue et d’imputabilité des élus suggère que

ces derniers gouvernent pour eux-mêmes ; les citoyens sont oubliés.

La prise de décision se perd dans la complexité de la structure
politique et bureaucratique ; l’on décide pour soi, pas pour ni avec
le peuple, l’électeur devient un consommateur et la pratique de la

démocratie table sur une représentation tordue de la réalité, moins

politique qu’économique.

Le constat est clair : si tout le pouvoir vient du peuple, ce dernier ne
l’exerce que le jour des élections. Et il ne l’exerce qu’en surface.
Le reste du temps, les citoyens ne se sentent plus « entendus ».

Il n’est donc guère étonnant qu’ils finissent par désavouer leurs

politiciens et se sentent peu respectés par leurs institutions.

Comment, dans ces conditions, remédier à l’ « impuissance

collective » ?

Mika-L"Yondoloum

Président du Parti Liberal du Tchad

Pltchad_7@hotmail.com


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les Francs-maçons et la récolonisation du Tchad

Face aux atrocités commises depuis l’arrivée au pouvoir de Idriss
Deby, en 1990 jusqu’aujourd’hui (2008), c’est dans un climat de
haine, de peur et de suspicion avec toutes les normes renversées,
que des Tchadiens ont fait preuve d’une force morale exceptionnelle.
De nombreux survivants doivent la vie à leur courage et à leur
détermination. Les citoyens Tchadiens ont vecu ces moments
héroïques inimaginables.

Dans un document intitulé : ‘’le Tchad sous la colonisation des
francs-maçons’’ le Parti Libéral du Tchad retrace l’histoires
des hommes et des femmes du Tchad qui se battent pour
protéger d’autres face à la colonisation incarnée par
les francs-maçons tchadiens.

Le document raconte le récit souvent bouleversant de l’exploits
de ces défenseurs de la nation. Ce sont des témoignages très forts,
au coeur d’une situation d’une violence extrême qui montre com-
ment ces « justes » ont défié la propagande et les pressions qui
continuent d’écraser une nation, comment ils ont pu dépasser la peur
et l’intérêt personnel, souvent au prix de leur propre vie. Ils sont
pour tous une leçon d’humanité et montrent comment un
engagement personnel peut contribuer à la quête de tolérance
et de justice.


La présence maçonnique au Tchad est insidieuse et pernicieuse.
Il faut la dénoncer au même titre que la présence de la dictature.
Ce sont les deux plaies qui gangrènent le pays et tuent de milliers
de Tchadiens chaque année. Un frère ne tuent pas ses frères.
La France est extrêmement dangereuse pour les pays africains.
Des personnes ordinaires, paysannes ou villageoises utilisent leurs
ressources limitées pour aider de nombreuses personnes que la

France faits massacrer à longueur d,année en Afrique.
L’un de ces héros est un maçon originaire de Moussoro. Il a creusé
des tranchées et y a caché 14 des siens pendant que l’armée française
bombarda au napalm les villages du nord tchadien. A l’heure de la
reconstruction il est essentiel de rendre hommage à tous ceux qui de
l’intérieur se sont dressés contre les assassinats crapuleux et le soutien
sans faille à Idriss Deby. Il faut reconnaître leur courage et soutenir
ceux qui luttent contre les injustices au Tchad. Un jour viendra et

la France et ses francs-maçons tchadiens paieront pour ce qu’ils font

subir aux Tchadiens et aux autres Africains.

Mika-L. Yondoloum

Président du Parti Libéral du Tchad

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Le Tchad imaginaire

Le Tchad imaginaire a mesuré les impacts de la violence folle.

L’argent n’y est plus la mesure de tout. La simplicité volontaire,

conviviale, n’y règne plus. Les citoyens désirent pratiquer la

démocratie représentative et la démocratie participative, ce

qui exige de gros efforts mais l’administration MPS n’y voit

pas de cet œil. Il n’y a pas une répartition plutôt équitable

des richesses. Dans le Tchad imaginaire, c’est la crispation,

c’est la fuite en avant, c’est l’irresponsabilité, l’irresponsabilité

primaire.

Les médias y véhiculent des points de vue réellement variés,

créatifs. On y partage des belles valeurs laïques communes,

qui intègrent harmonieusement ce que l’humanité a produit

de mieux au cours des siècles et ce que le Tchad doit retenir

de son histoire: le manque de respect des valeurs de justice,

d’équité, d’égalité, de partage et de fraternité.

Le Tchad imaginaire peut vraiment être qualifié de conscient,

on y respecte l’environnement, le racisme n’y a plus sa place.

Nous y sommes tous et toutes plus attentifs les uns aux autres.

Le Tchad fait partie d’un monde en transformation grâce aux

difficultés qu’il a rencontrées et qu’il rencontre encore. Il n’en

est qu’aux balbutiements de ses transformations.

Pour aider le Tchad à mieux redémarrer , le Parti Libéral du

Tchad propose cinq objectifs à atteindre : pacifier le Tchad,

réunifier les régions devenues ghettos ethnique, reconstruire

le pays en restaurer l’intégrité territoriale et rétablir l’autorité

de l’Etat ; Enfin, pour devenir un vrai pays, quatre autres

objectifs s’imposent au Tchad : réconcilier les tchadiens et pro-

céder à la formation d’une armée nationale structurée et intégrée

puis organiser des élections démocratiques enfin, mettre en place

des structures devant permettre au Tchad d’entrer tête haute

dans le concert de vraies nations et jouir du nouvel ordre

politique mondial.

MIKA-L. YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
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TCHAD : Finir avec la complaisance

Le Président du Parti Libéral du Tchad vient d’apprendre, ce jeudi midi,
le meurtre crapuleux de Pascal Marlinge, de 49 ans, marié et père de
deux filles, abattu jeudi 1er Mai vers 10h15 locales (09h15 GMT) par
un groupe d'hommes armés alors qu'il se trouvait dans un convoi de trois
voitures, avec un chauffeur de Save the Children et deux véhicules d'une
autre agence humanitaire.

Au demeurant, nous savons que toutes les crises au Tchad sont sympto-
matiques des problèmes récurrents. Les crises du Tchad dépassent les
frontières de l’acceptable. Il est alors temps que le monde civilisé décou-
vre la vraie nature de ce qui se passe au Tchad et qui finalement com-
mence à décourager les nations et organisations internationales engagées
dans le processus du retour de la paix. Il est aussi temps de comprendre
la mentalité rétrograde de ceux du Tchad qui ne connaissent que détruire

alors qu’ils n’ont rien bâtit ni rien inventé pour aider d'abord le Tchad puis

l'humanité. Le Tchad a t-il le droit de déranger autant ?

C’est un crime odieux et affreux, c’est ignoble, c’est mesquin c’est être
sans état d’âme. C’est animal que de poser un tel geste. C’est inaccep-
table car nous savons tous que les crises au Tchad sont symptomatiques
des problèmes récurrents. Ces crises dépassent les frontières de l’accep-
table. Il est alors temps que le monde extérieur mette le Tchad au pas
car il fait perdre temps, argent et vie à tous ceux qui sont à son chevet
de malade incurable. Le Tchad doit avoir honte de sa maladie.


Nous avons envie de vomir quand des tchadiens se talibanisent, s’endur-
cissent le cœur et sans gêne, ni remords, quand ils montrent aux yeux

du monde leur ignorance de l’origine de la vie et pire encore, leur inca-

pacité d'apprécier le soutien international dont ils sont inconscients d’en
être les principaux bénéficiaires.

L’Est du Tchad s’est encore permis une troisième bavure de l’année.
Il est inacceptable de s’en prendre lâchement aux gens qui abandonnent
tout dans leur pays pour nous venir en aide. En raison de quoi des gens
peu scrupuleux doivent –ils enlever la vie à Monsieur Pascal Marlinge ?
Trop c’est trop, le temps est venu de mettre le Tchad au pas. Point de
temps pour la complaisance.

Mika-L. Yondoloum

Président du Parti Libéral du Tchad

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