lundi 24 septembre 2007

La trahison de l'élite politique tchadienne


Aussi longtemps que la classe politique tchadienne accepte de servir deux maîtres, c'est le Tchad tout entier qui y perdra.

L'appel aux changements constitutionnels vient généralement pour l'essentiel de l'élite politique qui respectent les attentes des citoyens et rejettent le verdict des commissions d'enquête. En d'autres termes, lorsqu'il y a trahison des intérêts du Tchad, celle-ci ne vient pas de la classe intellectuelle ou des citoyens qui sont venus s'exprimer devant les commissions d’enquêtes mais de la classe politique elle-même.


Vu les nombreuses trahisons dont le Tchad a été victime depuis son « indépendance », une constante se dégage des relations entre l'élite politique tchadienne, des années 79 à 2007, avec les vendeurs d’illusion et de canons: soit l'incapacité viscérale de la classe politique de protéger les intérêts de la nation et d'empêcher les empiétements constitutionnels.
L'entrée enthousiaste du Tchad dans le concert des « nations dominées » est largement connue de tous et ne supporte pas l'examen objectif puisque c'est par une seule voix de majorité que les députés des circonscriptions tchadiennes ont adhéré au changement brusque de la constitution permettant à I. Deby de se maintenir au pouvoir, de tuer et de saccager davantage le Tchad. La décision prise ne fit jamais l'objet d'une campagne électorale ni d'un référendum.


Au Tchad, I. Deby est celui qui a le plus incarné l'incapacité politique du Tchad. Sa défense des intérêts du Tchad était frêle au point où il a même oublié que les citoyens revendiquent des changements au partage des pouvoirs afin que ses commettants puissent s'accomplir pleinement. Dans le but déclaré de procurer au Tchad la place qui lui revient de plein droit dans la concert de nations respectables et respectés, certains tchadiens ont soutenu la révolte pour mieux équilibrer la présence des régions dans la gestion administrative du pays. Ils disaient vouloir corriger les injustices faites au peuple du Tchad mais ils se sont contentés de mieux encadrer leur seule famille dans l'ensemble tchadien. Ils ont cependant délaissé la vision dualiste, appuyée sur la thèse des peuples fondateurs et défendue par feu Tombalbaye et le premier gouvernement du Tchad, pour lui substituer la fourberie et l’hégémonie soudano-libyenne.


L’élite tchadienne des années 1979 à nos jours n’a jamais arrêté de trahir. Elle a dès lors tendance à tenir simultanément divers discours politiques: celui qu'il réserve à ses commettants et celui qu'il sert à ses homologues provinciaux et, finalement, celui qu'il utilise dans ses négociations avec les négociateurs internationaux. Les recherches et l'analyse des documents d'archives, des faits et accords signés illustrent cette dimension de la conduite des gouvernements qui ont succédé à l’administration Tombalbaye. Les textes rendus publics par les médias tchadiens laissent voir que l'élite politique à Ndjaména a davantage à coeur de piller le pays au profit des étrangers au lieu de défendre les intérêts du Tchad.


Les Tchadiens ne veulent rien que la paix dans leur pays; ils veulent tout simplement que les structures politiques leur permettent de s'épanouir et d'exprimer pleinement leur culture, leur langue et leurs traditions. Pour les Tchadiens, les structures politiques sont là pour refléter leur expérience collective et non l'inverse.



MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
http://parti-liberal-du-tchad.blogspot.com/

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dimanche 23 septembre 2007

La démocratie et la crise tchadienne



D'aucuns évoquent, à son propos, l'image du général Franco et son équipe gouvernementale. M. Idriss Deby n’est pas le contraire du colonisé qui vendrait pour une chanson les ressources du Tchad à un ami camerounais puis aux maîtres américains du cynique valorisant l'ignorance et la misère entretenue au Tchad. Soutenu par quatre pays dont deux du nord et deux du sud, le réactionnaire du 1er décembre 1990 a braqué le pays contre l'évolution des moeurs et les exigences de justice. Si évoquer le départ de I.Deby n’est pas fortement soutenu, la tentation d’imposer la vraie paix au Tchad demeure moins forte en Occident. C’est que l’équipe actuellement au pouvoir, à bien des égards, en prend large contre la démocratie qui en réalité n’existe pas pour d’autres peuples. I. Deby est bel et bien soutenu à bout de bras par ceux –là qui ne croient pas dans l’Afrique. Dialogue inter tchadien sans exclusive ou réconciliation nationale cela ne change rien au malaise qui traîne en son sillage, le sort de millions d’humains qui vivent au Tchad, une fois les caméras éteintes et les accents cordiaux dissipés.

Il y a, chez le fondateur du MPS, un esprit de meilleure crapule, d’imposteur et de provocateur. La démocratie en est plus injuriée, aujourd'hui, qu'au temps d'hitler. L’assemblée nationale du Tchad, malgré la présence de nombreux analphabètes élus ou nommés, le suffrage universel n' a jamais été réalisé avec intégrité et droiture. La situation des femmes, des jeunes,des enfants, des travailleurs et les exigences démocratiques sont aujourd’hui, après dix sept ans de pouvoir, encore plus balbutiantes que jamais. Hors les campagnes électorales, le Tchad, sous le règne Deby, rend compte aux caisses occultes plutôt qu'au peuple, les sondages ne sont pas encore nés pour infléchir les impulsions des élus, les médias et leurs tribunes n'en sont pas de masse. Quant à la société «participative», avec ses mille manières d'associer les citoyens aux organismes publics qui les encadrent, n'est même pas prévisible. L'autorité de M. I. Deby, aussi brutale qu'elle l'est, s'accorde à l'ordre alors établi, avec ses hiérarques et ses plébéiens. Cette excessive autorité et cette brutalité digne de l’homme des cavernes qui l’accompagne font du Tchad un pays très peu à la mode. La façon de gouverner de M. I. Deby nous ramène pourtant, et trop souvent à croire que le Tchad d’aujourd’hui est très inhospitalier car il suscite beaucoup d’inquiétude.


La crise actuelle confirme avec éclat le goût pour le gouvernement Deby de droit divin. On l'a vu adopter des décrets en enfilade, sans le moindre avertissement ou débat préalable. Confronté par la presse, il a commencé par s'impatienter de toute question où il invoque l'urgence d’une offensive militaire, alors que l'objet de ces décrets dépassait de loin les exigences de l'après-tempête. Pire, il invoque souvent le «développement du Tchad», vaste couverture de tous ses actes durant ces jours agités, chèque en blanc qu'il aurait été choquant, de ne pas lui consentir. Ce comportement est le même qui lui fait hausser les épaules quand on lui rappelle qu' il n'a pas de mandat pour gouverner le Tchad, comme nous ne cessons de le répéter ici . Un mandat électoral, c'est le fondement même de la démocratie. Dans son cas, la carence est double: d'une part, il n'a jamais été régulièrement élu par les citoyens de sa région et les Tchadiens ne l'ont jamais choisi comme président; d'autre part, le gouvernement du Parti MPS a été porté au pouvoir en Mai 2006 avec un programme qui a brillé par son absence. Le Parti Libéral du Tchad l'a suggéré au lendemain des résultats des élections de Mai 2006, qu’un véritable démocrate aurait pu prendre quelque temps pour évaluer l'état des lieux, pour se donner un programme, mais il aurait ensuite requis l'appui des électeurs pour le mettre en oeuvre.


Pour défendre l'absence de scrutin, position certes autocratique, son parti et ses amis se sont appuyés sur un semblant de sondages pour affirmer que le peuple ne veut pas d'élections, que M. I Deby est de loin son favori, et que le programme économique et social proposé par le MPS passe la rampe. Réponse indigne, surtout venant de gens qui font la leçon à leurs adversaires politiques sérieux, quand ce n'est à la loi électorale, au nom des exigences morales de la démocratie. Tous les périls d'un pouvoir trop personnel guettent ce gouvernement au surplus conforté par la faiblesse et souvent l'insignifiance des partis d'opposition. Ses succès sont certains car la machine de la remise en ordre des finances publiques et des quelques réformes corollaires grince mais avance puisque le Tchad des années 2000 fait partie des pays émergeants, la gestion de crise a été dans l'ensemble remarquable et parfois exemplaire, l'hostilité tchadienne postcoloniale n'a pas réussi à épuiser l'espoir de changement, l'énergie générale ne manque pas (sauf dans le réseau électrique..).

Mais si ces résultats s'obtiennent au prix d'une régression des valeurs de citoyenneté, d'un lien infantilisé entre les électeurs et les dirigeants, d'une réduction des mécanismes reconnus d'information et de consultation, du recours à la démagogie, d'un déficit démocratique, en somme, nous aurons beau nous réjouir de nos démonstrations de force, nous n'aurons bâti que de l'éphémère.



MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
http://parti-liberal-du-tchad.blogspot.com


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samedi 22 septembre 2007

Parti Libéral du Tchad : pour une réforme totale


La crise de la démocratie vient donc en partie de ce long parcours de l'idée républicaine sous les anciens régimes venus au pouvoir par la violence, ensuite de l'organisation de l'État devenu lambeau et du gouvernement de dictature qui a institué un État administratif peu efficace car miné de l’intérieur par la corruption et le clanisme et reléguant ainsi au fond du puits le vieil État de justice, le droit politique républicain.

Afin de remédier à ces difficultés, le PLT discerne deux horizons :
- Le retour aux véritables valeurs et à l'organisation politique républicaines,
- Le retour aux institutions pour démocratiser la République du Tchad. Si la première réforme fondamentale est celle de la justice, une deuxième réforme toute aussi fondamentale doit traiter de l'école. La réforme scolaire ne consiste pas seulement dans la question des moyens matériels telle qu'on nous la présente actuellement. Elle doit traiter de l'école en tant qu'elle est l'instrument de sélection de l'élite républicaine. Elle doit viser à une sélection moins précoce, moins définitive et davantage citoyenne. Les élites de la République ne sont pas aujourd'hui choisies selon des principes démocratiques.

Selon le président du PLT, ce n'est pas dans la société civile qu'il faut chercher la réforme. Nous savons que de nombreux partis, inspirés par une volonté sincère de démocratiser la République, considèrent que c'est à travers une démocratie participative, les associations ... que l'on peut trouver la voie vers une réorganisation des pouvoirs. Personnellement, le PLT n'envisage pas cette direction comme fondamentale. Les remèdes à la crise de la citoyenneté - coeur du coeur de la crise républicaine sont à chercher dans une réforme du pouvoir et de la sélection de l'élite.

Le PLT croit que ces réformes du droit politique ne peuvent être entreprises sans une volonté politique véritable, c'est à dire pas en l'absence d'un véritable parti démocratique.


MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
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APPEL DU PARTI LIBERAL DU TCHAD


Appel aux humoristes, chanteurs, journalistes, députés et personnes de bonne volonté en faveur du Tchad. Quoique l'opinion publique internationale soit très peu au courant des manipulations de l'équipe au pouvoir au Tchad, le peuple tchadien mène une lutte courageuse et ardue depuis des années, dans une indifférence ou passivité quasi générale des gouvernements et parlements occidentaux et de toutes les autres régions du monde. Sauf quelques personnes et personnalités de bonne volonté qui essaient de sensibiliser la Communauté internationale, rien n'est vraiment fait pour aider le Tchad à éviter un nouvelle situation à la rwandaise, une hécatombe à la congolaise ou un scénario à l'ivoirienne.
Tous les partis politiques tchadiens vous implore de mettre fin à la conspiration du silence sur la question tchadienne. Après Hitler, le Cambodge et le Rwanda, toute la Communauté internationale a dit "Plus jamais ça", aussi elle ne peut pas rester indifférente et ne rien faire. Il est encore possible de prévenir au lieu de guérir. Alors agissons tous ensemble pendant qu'il est encore temps. Sans le soutien de la Communauté internationale, le peuple tchadien a peu de chances de succès. Il a donc besoin de votre aide, le plus rapidement possible, car non seulement la situation est dramatique (manque d'eau potable, de travail, de nourriture, de médicaments, SIDA et autres maladies endémiques), mais elle empire encore plus de jour en jour à tous les niveaux (politique, économique, financier et social).
Il est inadmissible car irresponsable qu'un gouvernement passe son temps à faire la guerre qu'à s'occuper de ses citoyens. Il est malhonnête de jouer au sapeur pompier alors qu'en réalité on est le pyromane en personne, l'instigateur en puissance du péril sous -régional.


La situation au Tchad est maintenant intenable et explosive; il peut dégénérer à tout moment en une guerre civile très meurtrière (+8 millions d'habitants) qui enflammerait toute cette région de l'Afrique centrale autour du Darfour dont les importantes ressources pétrolières attisent les appétits des plus voraces grandes puissances, entreprises étrangères et vendeurs de canons qui profitent de l'instabilité pour tuer des africains qui ne demandent à vivre chez eux et non immigrer chez d'autres. Ces puissances, ces multinationales et ces vendeurs de canons assez bien identifiés au Tchad, se nourrissent des dissensions et adorent les dictatures corrompues comme celles du Tchad devant lesquelles la vie n'a pas de valeur.
Le Parti Libéral du Tchad croit le temps venu de dénoncer ceux qui soutiennent la dictature, vendent des armes de destruction massive, tuent des tchadiens par Idriss Deby interposé.




MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
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vendredi 7 septembre 2007

A l'aube du renouveau au Tchad !


En fixant les trois objectifs d'Indépendance, de Liberté
et de Bonheur, pour le Tchad, le Parti Libéral dirigé par
Mika-L. Yondoloum propose le libéralisme économique
comme moyen de réalisation.

Les libéraux du Tchad ne se sont pas contredits. L'Indé-
pendance, La Liberté et le Bonheur pour notre pays, en
particulier ne seront jamais atteints tant que l'injustice
provoquera chez l'opprimé la haine de l'oppresseur.
La persévérance de la haine ethnique et des violations
massives et systématiques des droits de l’Homme au Tchad
est l’une des plus dramatiques au regard non seulement
du nombre de morts, mais aussi du nombre de personnes
déplacées et de la destruction du tissu économique.


Le conflit tchadien n’a jamais cessé de se compliquer
et de fatiguer les populations du septentrion (nord)
et du méridional (sud). Au moment où l’ombre de la
paix apparaît au loin, une provocation –qu’importe
d’où elle vient—surgit pour la torpiller. Comme si
la paix n’est pas rentable pour les politiciens tcha-
diens impliqués dans cette violence. A croire que la
coexistence n’est plus souhaitée par les uns et par
les autres. Trop d’injustice, trop d’humiliation,
trop d’intransigeance finissent par désespérer le
monde.


De par la nature du conflit inter ethnique qui le
déchire, le Tchad, ainsi faussement crée semble se
diriger vers l’extermination ethnique.
- Qui osera avoir ce courage de dire la vérité
aux uns et aux autres ? le PLT
- Qui osera avoir ce courage de dire la vérité
que la guerre ne résoudra aucun problème, le PLT
- Qui osera avoir ce courage de dire la vérité
que le radicalisme religieux n’apportera pas la paix,
le PLT
- Qui osera avoir ce courage de dire la vérité
que tôt ou tard les deux grandes régions du Tchad
(le nord et le sud) vivront côte à côte. le PLT

Se reconnaitre mutuellement s’impose, car
tout le monde est fatigué par ce conflit qui dure
depuis trop longtemps. Peut-être que trop de fatigue,
trop de désespoir suscitent de l’énergie et l’éternel
retour de la haine. Soutenez le PLT pour qu’il vous
soutienne en vous donnant un État-nation de droit,
libre, et paisible !




MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
http://parti-liberal-du-tchad.blogspot.com

lundi 3 septembre 2007

Le Tchad peut-il être contre «ses» citoyens ?


L'État que nous avons au Tchad, à toutes les époques, est
toujours l'expression du rapport des forces en présence.
Malgré les faiblesses de la démocratie encore naissante et
balbutiante, celle-ci reconnait à ses citoyens, et
même... aux individus généralement, des droits et libertés
fondamentales connus de tous. Cependant, comme la «démocratie»
est généralement considérée comme l'expression de la règle
de la majorité sur la minorité il arrive fréquemment que
cette règle prime sur les libertés fondamentales. C'est
d'ailleurs le danger que présente un pays comme le Tchad
pris en otage par des individus mal intentionnés. Là-bas,
le Tchad est considéré comme un «outil à usage régional »,
comme étant une chose de l’individu sur le collectif. Ce
danger est d'autant plus présent depuis une trentaine
d'années avec la croissance d’un manque de considération
des besoins du citoyen. La part des dépenses publiques
dans le Produit intérieur brut prend chaque année du galon
du côté de la famille et la mouvance présidentielle.


L'importance du désordre complet dans la gestion du pays a
donné aux institutions étatiques un pouvoir considérable.
Ces institutions et tous les groupes qui les supportent
et qui en dépendent, à commencer par le parti politique
au pouvoir et les bénéficiaires des dépenses gouvernementales,
sont devenus une entité qui se protège, qui légifère, qui
contrôle et qui parle plus fort que les citoyens. Les droits
des individus entrent de moins en moins en ligne de compte dans
tout projet législatif. Le devoir d'un fonctionnaire est
d'abord de défendre le gouvernement, quel que soit l'impact
sur les individus. On en voit couramment des illustrations
en consultant les rapports des défenseurs du citoyen de la
société civile. Mais ce n'est que la pointe de l'iceberg.
Plusieurs législations et interventions gouvernementales
sont une négation de la liberté de choix. La «règle de la
majorité» n'est souvent elle-même qu'une farce monumentale,
les décisions étant réellement prises par un groupe restreint
de meneurs sans que la population ne soit consultée.





MIKA-LELITA YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad
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dimanche 2 septembre 2007

Visions et valeurs du PLT




Reconnaissant que l'action individuelle doit être appuyée
par une communauté plus large, le PLT et ses membres
demandent aussi aux sympathisants (es) d'appuyer son pro-
gramme pour la paix qui affirme la primauté des droits
humains sur la règle du commerce et des investissements
et qui considère l'affranchissement de la pauvreté et de
la vulnérabilité comme la véritable garantie de la sécurité.
Vous trouverez dans la législation sur les droits humains
une des sources des valeurs profondes du Parti Libéral
du Tchad

Respect pour la vie :

Rejet de la violence :

Partage avec les autres :

Écoute pour comprendre :

Préserve le pays :

Redécouvre la solidarité :

La justice véritable est le fruit que récoltent celles
et ceux qui font la paix en semant dans un esprit de paix.

Le Parti Libéral du Tchad s’engage à honorer « l'éclat
de la dignité tchadienne » et de permettre une double
complicité avec le peuple du Tchad. Le PLT se donne
comme mission de faire l'unité entre les tchadiennes
et tchadiens afin qu’ils vivent la vision que chacun
de nous a d'une paix juste.

Joignez-vous à nous et ensemble plantons au Tchad cet
arbre de paix tant désiré !

Le PARTI LIBERAL DU TCHAD ET MR MIKA-LELITA YONDOLOUM
souhaitent planter cet arbre de paix avec votre soutien.
Joignez-vous au Parti Libéral du Tchad, et ensemble,
soyons de ceux qui revendiquent le dialogue national
pour la paix au Tchad. Dites à votre entourage et à
votre gouvernement que le Tchad a un rendez-vous avec
la paix et afin que la démocratie puisse triompher.



Mika-L.Yondoloum
Président du PLT
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