mardi 3 août 2010

Tchad: Le PLT appelle à la démocratie et la fin de la corruption


Dans un message d’envergure, aux accents sincères, placé dans une
dimension éthique et dans une chaleur de vraie déclaration, le prési-
dent du PLT Mika-L.Yondoloum appelle le gouvernement du Tchad
à mettre fin aux pratiques antidémocratiques et à la corruption, pour
adopter des règles de bonne gouvernance.

Les Tchadiens tiennent leurs destins en mains. Le Tchad, comme
membre des pays producteurs de pétrole, ne peut plus faire la quête,
ni courir derrière des intermédiaires inutiles, ni s’adonner aux mar-
chands des sciences occultes. Le Tchad pourrait facilement être auto
suffisant sur le plan alimentaire si ses dirigeants luttaient contre
la corruption et la manipulation franco-européenne. Il est important
de ne plus favoriser des attitudes de mendiants et de soutenir les
citoyens qui aimeraient se mettre au travail dans leur propre pays.

Voici 30 ans le Cameroun (autrefois pays en voie d’émergence) était
le fournisseur en maïs de la Corée du Sud. Cette dernière ayant
depuis joué la carte du libéralisme économique a décollé tandis que le
Cameroun s’englue dans la rose-croix, la franc-maçonnerie et la fran-
çafrique et que sais-je pour être là où il est aujourd’hui. Encore une
démonstration du manque de sérieux des dirigeants africains qui
soutiennent l’occident à maintenir l’Afrique dans le sous-dévelop-
pement...

Sous un gouvernement issu du Parti Libéral, le Tchad s’engagera à pré-
senter la carte de visite suivante : démocratie et stabilité des insti-
tutions, garantie des libertés et la liberté de presse, corruption zéro
ou très peu, proposer la prospérité aux populations tchadiennes
en améliorant sans cesse leur qualité de vie. Il n’est, en effet, pas tout
de peaufiner des élections (truquées d’avance) pour plébisciter
l’homme fort du pays.
Selon nos analyses et constats, le Tchad n’a pas besoin d’un homme
fort mais d’un homme qui raisonne et qui est fidèle à son pays et à son
peuple pour les aider à s’émanciper. L’Afrique et le Tchad n’ont point
besoin de président qui modifie la constitution pour se réélire autant
qu’il souhaite. Ce type de Président n’est pas un démocrate et que dans
les relations bilatérales, il n’est simplement pas un homme à fréquenter.



ALAFI Y. BIBLOS
Commission technique PLT
N’Djamena Tchad


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