jeudi 17 janvier 2008

Politique sociale du PLT

De nos jours, c’est dans un cadre multilatéral que la
gestion de crises se fait. La question qui se pose
en ce qui concerne le Tchad, c’est celle de savoir
s’il ya un réel souci gouvernemental de pacifier
le pays. L’objectif de la communauté internationale
face à la guerre larvée du Tchad est à la fois de
gagner du temps en intervenant très rapidement
dans le règlement du conflit qui n’a que trop duré
et en évitant notamment que les pays alliés ne se
lassent trop vite de la situation conflictuelle dans ce
pays.

Cela fait déjà un long moment que les observateurs
étrangers se sont rendu compte que certaine organi-
sation politique préfère régresser en bloquant toute
négociation en bonne et due forme. Il faut absolu-
ment débloquer l’impasse dans laquelle se trouve
le pays. Si les actes traduisent un accroissement
de la violence dans le septentrion tchadien est-
ce à dire que la société tchadienne est devenue plus
violente ? Certains observateurs plus expérimentés
affirment que la pratique de la violence au Tchad est
épisodiquement virulents et ce, depuis vingt ans environ.
Au regard de la souffrance des populations tchadiennes,
le Parti Libéral du Tchad s’engage à être un gouverne-
ment d’ouverture et à œuvrer dans la transparence.


Sous un gouvernement issu du Parti libéral du Tchad,
l’on ne reviendra plus jamais en arrière dans les prati-
ques anti-démocratiques.Le futur gouvernement libé-
ral tchadien n’aura plus le monopole de la connaissance
ni celui de l’information parce qu’il s’engage de tenir abso-
lument compte de l’opinion publique en organisant pério-
diquement des débats avec l’élite nationale. Le PLT
tient à encourager le changement de mentalité au
Tchad. Par ailleurs, si l’on veut que les professionnels
de la connaissance au sens large puissent intervenir en
temps de crise ou de guerre, il est important qu’ils
coopèrent ensemble en temps de paix.


Il ne peut pas y avoir de souplesse en temps de crise, s’il
n’y en pas auparavant de dire le président du PLT.
L’exclusion sociale et économique doublée du sentiment
d’abandon par les pouvoirs publics est la principale carac-
téristique du phénomène de « ghettoïsation » des quartiers
et villes du Tchad. Pour permettre aux populations tcha-
diennes d’être au rendez-vous avec une meilleure qualité
de vie, des changements majeurs seront apportés à la poli-
tique sociale du pays dès l’arrivée au pouvoir du PLT. Dans
un premier temps trois secteurs seront privilégiés : l’édu-
cation, la santé et la sécurité sociale. Immédiatement, dans
un second temps, nous prendrons les secteurs de l’agricul-
ture, la formation professionnelle et la création d’emploi
lesquels, à nos yeux, représentent un facteur déterminant
de la crise actuelle.


Mika-L. Yondoloum
Président du Parti Libéral du Tchad
www.parti-liberal-du-tchad.blogspot.com

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