jeudi 7 juin 2007

VERS UN NOUVEAU TCHAD



Les fonctions symboliques de l’État (l’ordre public, la santé publique, l’enseignement public) se dégradent sans pour autant coûter moins cher parce que l’État du Tchad se fourvoie en négligeant l’importance considérable de la qualité du facteur travail dans les services publics.Les services publics sont des métiers de relation dont la qualité, l’efficacité, dépendent des compétences relationnelles et techniques du personnel ainsi que de la qualité de l’environnement dans lequel prend place cette relation.


On ne valorise pas des professions avec du vinaigre. La dégradation des services produit des réformes qui surinvestissent la symbolique du métier, les attentes sociales le concernant et la nécessité du contrôle des travailleurs rendus responsables de cette dégradation. Pour ce qui est du Tchad, la dégradation des conditions de travail et du statut social de la profession qui en résulte, provoque une pénurie de personnel et/ou de compétences, une démotivation qui dégrade l’image même des services. Engagé dans la violence à temps plein, les professions dans le pays de Idriss Deby sont devenues peu attractives, les conditions de formation initiale et de recrutement baissent, ce qui dégrade l’efficacité et la qualité des services. L’état lamentable du pays impose un changement d’administration suivi de nouvelles réformes institutionnelles et organisationnelles. Or, à quoi tient la revalorisation sociale d’une profession ? C’est le salaire. Bien sûr, pour son pouvoir attractif et la valorisation sociale concrète qu’il représente, mais aussi les conditions de travail qui sont fonction du statut symbolique de la profession dans la société. Ces deux composantes sont d’ailleurs liées.


De nombreux défis incombent à la nouvelle génération de femmes et d’hommes politiques, de solidifier le tissu social duquel dépend l’avenir du Tchad. Mika L.Yondoloum en est convaincu et s’appuie sur son expérience de leader du Parti Libéral du Tchad, pour expliciter les solutions qu’il préconise pour son pays, dévasté par plusieurs décennies de guerres tribales. De l’état des banlieues à la refondation du service public de l’emploi, de la revalorisation de l’apprentissage à la lutte contre la précarité sans cesse grandissante des diplômés sans emploi, de l’importance de l’immigration pour les besoins de l’économie à la cohabitation harmonieuse entre le modèle démocratique et les différentes cultures qui font la nation tchadienne. Mika-L.Yondoloum pèse et sous-pèse ses propositions, en fonction des idées et des modèles qu’il conçoit ou qu’il reprend à partir d’autres modèles de société. Les libéraux et leur président ne veulent rien imposer brutalement, mais ils esquissent au contraire des pistes de réflexion et des solutions, qui seront compatibles avec le nouveau modèle social proposé par le Parti Libéral du Tchad.



Mika-Lelita YONDOLOUM
Président du Parti Libéral du Tchad (PLT)
http://parti-liberal-du-tchad.blogspot.com/


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